Isidore Kwandja, le directeur national du Comité national des Jeux de la francophonie, a exprimé sa satisfaction concernant l’encadrement de l’Inspection générale des finances (IGF) dans la gestion financière des Jeux de la francophonie, dont la neuvième édition vient de se clôturer. Il a loué l’engagement et la rigueur dont a fait preuve l’IGF dans la supervision des dépenses relatives à ces jeux.
Dans un message posté sur son compte Twitter, Isidore Kwandja a remercié l’IGF pour sa contribution à la réalisation des jeux et a souligné l’importance de cet encadrement dans l’exécution des dépenses. Il a également souligné que sans l’implication personnelle du président de la République et la supervision quotidienne du Premier ministre, ainsi que le soutien de l’IGF, les Jeux de la francophonie n’auraient peut-être pas eu lieu à Kinshasa. Kwandja a également évoqué les défis et les pressions auxquels il a été confronté pendant la préparation et l’exécution des Jeux, et il a noté que malgré les difficultés, l’expérience a été extrêmement enrichissante et que l’exercice en valait la peine.
Cette reconnaissance de l’IGF par Isidore Kwandja témoigne de l’importance de la supervision et de la transparence dans la gestion des dépenses publiques, en particulier lors d’événements majeurs comme les Jeux de la francophonie. L’IGF joue un rôle essentiel dans la préservation de l’intégrité financière et dans la garantie que les ressources allouées sont utilisées de manière adéquate et responsable.
